Quand la misère tue, elle a des complices
Une nouvelle fois, l'inhumanité des services de l'Etat, en l'occurence ceux de la préfecture des Bouches du Rhône ont poussé à la mort une mère de famille menacée d'expulsion.
Celle-ci mère de deux enfants s'est défenestrée ce matin à Istres. Elle est décédée.
J'ai trop entendu gloser sur les "drames humains", "la misère qui tue" et autres sornettes dignes de la Boutin pour accepter que cette maman à qui on a laissé de choix que la rue ou la mort soit en plus classée en "pertes et profits".
Oui, cela pouvait être évité.
Oui, il y a des logeemnts vacants aussi à Istres.
Oui, votre excuse est lamentable, monsieur le Préfet des Bouches du Rhône.
Celle-ci mère de deux enfants s'est défenestrée ce matin à Istres. Elle est décédée.
J'ai trop entendu gloser sur les "drames humains", "la misère qui tue" et autres sornettes dignes de la Boutin pour accepter que cette maman à qui on a laissé de choix que la rue ou la mort soit en plus classée en "pertes et profits".
Oui, cela pouvait être évité.
Oui, il y a des logeemnts vacants aussi à Istres.
Oui, votre excuse est lamentable, monsieur le Préfet des Bouches du Rhône.